- Parution le 13 février 2019
- 244 pages
- 18.50€
Ma soeur, serial killeuse
Par Oyinkan Braithwaite- Parution le 13 février 2019
- 244 pages
- 18.50€
Korede a une vie à mener, elle aussi : elle est secrètement amoureuse de Tade, le séduisant médecin qu’elle croise tous les jours dans les couloirs de l’hôpital où elle travaille comme infirmière. Aussi, lorsque sa jeune sœur jette son dévolu sur Tade, Korede se trouve face à un dilemme : comment continuer à protéger Ayoola, sans risquer la vie de l’homme qu’elle aime ?
À l’instar d’une Jane Austen des temps modernes, Oyinkan Braithwaite interroge les liens du sang, tout en pratiquant une critique en règle de la société nigériane: sa corruption, ses différences de classe, son machisme exacerbé…
Une comédie noire et décalée, aussi grinçante que glaçante.
Oyinkan Braithwaite« Vous la connaissez, celle-là ? Deux filles entrent dans une pièce. Cette pièce se trouve dans un appartement, lui-même situé au troisième étage. Dans la pièce se trouve un corps d’homme. Comment transportent-elles le cadavre jusqu’au rez-de-chaussée, ni vues ni connues ?
Premièrement, elles rassemblent le matériel. »
Ils ont aimé
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Chaud bouillant !
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Cette comédie noire haute en couleur est une véritable bouffée d’air frais.
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Drôle, grinçant, enlevé, un roman à (s’)offrir.
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Un premier roman inattendu, frais et addictif !
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Bienvenue dans un premier roman génial et déjanté ! Nous ne sommes pas dans un policier mais bien dans une histoire de mœurs. La famille est aussi au cœur de l’ouvrage, et on rit aussi beaucoup.
Un seul défaut : se lit trop vite. -
Ce thriller n’est pas comme les autres. Deux sœur, Ayoola belle comme le jour, et Korede qui est quelconque. Mais laquelle est la serial killeuse ?
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Un roman noir exceptionnel dont le titre nous dit tout. Korede sait depuis toujours qu'elle doit protéger sa petite soeur. Ça se complique quand la petite soeur en question commence à tuer des hommes. Encore plus quand Ayoola, absolument irrésistible, séduit le beau médecin que Korede convoitait depuis des mois... Jusqu'où peut aller Korede pour sauver Ayoola malgré un énervement grandissant vis-à-vis de cette soeur qui ne vit que pour son plaisir sans penser aux conséquences ? Un texte qui détonne et qui vous donne une énergie folle.
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Une comédie noire très réussie et qui sort des entiers battus. Séduisant !
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Un thriller prodigieux et décapant, ne passez pas à côté !
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Vu l’efficacité très douteuse de la police nigériane, ça pourrait durer longtemps comme ça. Sauf que la sœur cadette a la mauvaise idée de vouloir séduire le beau docteur Otumu. Et là, forcément, ça coince avec Korede, qui raconte, au fil de 75 chapitres très courts, très drôles et très enlevés comment elle compte sauver son toubib chéri des griffes sanglantes de sa sœur dérangée. (...) En filigrane des aventures criminelles des deux sœurs, on découvre une société africaine en complète ébullition où, ça ne vous surprendra pas, les femmes grignotent chaque jour un peu plus le pouvoir de ces messieurs. Et ça aussi, c’est très jubilatoire. "Ma sœur, serial killeuse" est donc une perle noire africaine, écrite par Oyinkan Braithwaite qui, dans le civil, a l’air d’être une sacrée nana !
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C’est un super polar. D’une part parce que ça nous fait découvrir le Nigeria, sa culture, les rapports des femmes entres elles, les rapports des femmes dans la fratrie, les rapports des femmes au reste du monde. (…) C’est fascinant parce qu’on s’immerge dans cette société. Et d’autre part parce que c’est une histoire de tueur en série, façon Dexter mais pas écrite à l’américaine. Pas écrite à la scandinave. Ce n’est pas glauque. Au contraire, il y a énormément d’humour. (…) Pour moi, c’est une découverte. Un roman nigérian, c’est quand même assez rare même s’il y a une vraie culture polar chez eux. Moi, j’ai adoré !
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Le titre de ce livre surprenant laisse présager un bon gros thriller, servi saignant. Mais ce premier roman brillamment ficelé vaut bien mieux que cela et célèbre, dans une cascade de rebondissements, un humour noir grinçant, merveilleusement décalé.
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Dans ce roman farci d’humour macabre, la Nigériane Oyinkan Braithwaite offre une comédie noire sur les liens du sang, les relations hommes-femmes dans son pays, la corruption politique et l’inefficacité de la police.
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Ce premier roman sensationnel révèle une nouvelle plume nigériane.
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La Nigériane Oyinkan Braithwaite, dont c’est là le premier roman après des débuts remarqués dans la nouvelle, brasse plus large que le prisme féministe et ne procède pas par la charge mais plutôt la farce. Macabre dans le fond, solaire dans la forme qui a parfois des échos de soap opera. (…) Ma sœur, serial killeuse renvoie le cliché de la femme trophée en boomerang sanguinolent et questionne le pouvoir de la beauté.
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Ma sœur, serial killeuse, premier roman de la Nigériane Oyinkan Braithwaite, est aussi vif qu'un coup de lame.
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Ce feel-good polar, dépaysant, hilarant et sans aucune morale, est un régal.
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Étrange roman, écrit sans fièvre, avec un détachement qui provoque le frisson. (…). Diabolique.
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Une enthousiasmante comédie noire.
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La sensation du printemps, rayon thriller. (…) Dans un thriller américain, on aurait droit aux scènes de meurtre, à des pages de psychologie et au professionnalisme de la police. Mais nous sommes à Lagos et ce premier roman de la Nigériane Oyinkan Braithwaite préféré esquisser plutôt que disséquer, avec autant d’humour que de critique sociale, ce qui transforme une jolie idiote en poupée tueuse et sa sœur, pourtant jalouse, en complice fidèle. (…) Une réjouissante comédie à suspense et à subtilités, et une savoureuse variation de saison sur la sororité.
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Oyinkan Braithwaite nous offre une réjouissante comédie à l'africaine où souffle le mauvais esprit de Hitchock, celui de « Mais qui a tué Harry?». Unies par un esprit de clan familial indéfectible, le duo de soeurs au caractère que tout oppose fait des étincelles. Entre la tueuse aussi accro à la mode qu'inconséquente de ses actes et l'aînée pétrie de remords, qui se décharge de sa culpabilité en se confessant à un comateux, les liens du sang n'ont jamais été aussi drôlement grinçants.
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L’auteure insère son histoire dans une description – par de courtes scènes – de la société de Lagos. On appréciera la scène dans les embouteillages… sur un ton très britannique. Et en même temps ce qu’elle raconte de la vie de Korede semble digne d’un sketch d’humoriste noir. Cela se dévore d’une traite et offre une bonne humeur pour commencer la journée.
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Oyinka Braithwaite livre un roman subtil. Les deux personnages qu’elle dépeint sont parfaitement cernés dans leurs différences et leur complexité (la plus complexe n’étant peut-être pas celle que l’on croit) et son évocation du rôle croissant des réseaux sociaux frappe juste, tout comme son analyse de la place des femmes dans une société nigériane entre tradition et mutations. Le roman a conquis dès sa sortie la presse et les lecteurs anglophones. La France ne devrait pas tarder à suivre.
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Un premier roman, aussi original que réussi, et qui fait d’Oyinkan Braithwaite une auteure à suivre. Les chapitres, courts, efficaces, filent comme autant de flèches lancées par une main experte. Le ton est léger, en total décalage avec les horreurs racontées. (…)Une fois commencé, impossible de le lâcher. Une fois terminé impossible de l’oublier.
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C’est donc une comédie noire que nous proposent les éditions Delcourt avec cette petite pépite littéraire tout droit venue de Lagos. Une comédie noire et surtout déclaée, au-dessus de toute morale, aussi grinçante que glaçante. C’est décapant, profondément immoral et on adore ça. (…) Un roman insolite, drôle et captivant qui nous prouve que la littérature africaine est aussi riche de talents. Cette comédie à suspense saura ravir ceux qui souhaitent sortir des terrains battus des polars classiques. L’ouvrage est à la hauteur de sa couverture, magnifique er intrigant, un vrai régal de lecture.
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Une écriture fluide et limpide installée dans des chapitres courts, un intrigue bien menée, des personnages attachants, (même la serial killeuse), et voici la recette du page turner par excellence. Ce premier roman nigérien de Oyinkan Braithwaite laisse présager de prochaines belles lectures si elle décide de continuer dans cette voie. Dès la première page, je n’ai pas pu lâcher ce livre. C’est un roman à la fois léger, drôle et grave.
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À travers ces pages où la Javel efface les traces de sang, l’humour décapant de l’auteur nous offre un roman bluffant vraiment atypique. (…) Un premier roman absolument réussi autant par son style nerveux , sa narration brillante que pour son histoire ultra-noire, explosive, déjantée et vraiment mordante.
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Le premier roman incandescent de Braithwaite est aussi affûté qu’une lame de couteau… Un humour mordant, une exécution brillante, pas un mot de trop.
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Ayoola — jolie, stupide et incorrigible meurtrière — est le chaos au cœur de Ma sœur, serial killeuse, le premier roman attendu de l’auteure nigériane Oyinkan Braithwaite. C’est un Lagos noir – pulp, caustique et sinistre –, porté par l’humour pince-sans-rire porté par l’humour pince- sans-rire de la narratrice.
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Insolite, drôle et étrangement touchant… Presque parfait… Il porte son étrangeté avec panache.
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Impossible de ne pas tourner les pages…
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Bien qu’il ne s’agisse pas d’un whodunit, l’intrigue de Ma sœur, serial killeuse est captivante, ponctuée de rebondissements bien sentis, et pimentée d’observations hilarantes sur la famille, le travail et les flics corrompus…
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Un premier roman audacieux, avec une femme fatale, qui propose une vision décalée de la sororité. Rusé et morbidement drôle, un noir moderne sur la violence et tout ce à quoi nous sommes prêts au nom de ceux qu’on aime.
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Le portrait que dresse Braithwaite de Lagos, avec sa corruption rampante, son trafic épouvantable et la rigidité de ses normes familiales, rend la quête d’identité (de ses personnages) plus contrainte et plus prédéterminée. C’est un portrait en douleur, à l’humour particulièrement noir.
À propos de l'auteur
Oyinkan Braithwaite vit à Lagos, au Nigeria. En lice pour le Booker Prize et le Women’s Prize, son premier roman, Ma sœur, serial killeuse, a également été couronné de nombreux prix dont le LA Times Award for Best Crime Thriller et le Morning News Tournament, en 2019. Il est aujourd’hui traduit en 30 langues et les droits ont été optionnés pour une adaptation au cinéma.