Les Derniers Américains

Par Brandon Taylor

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• “Les Derniers Américains” de Brandon Taylor, le roman d’une jeunesse qui se consume. Un formidable roman d’initiation.
  Les « derniers Américains » sont des enfants du XXIe siècle. Ils arrivent après la bataille, sociale ou raciale, dont ils ne connaissent que les ruines et les positions gelées. (...) Les esprits brillent, les interrogations fusent mais, dans la lumière glacée du Midwest, ce sont les corps qui s’expriment le mieux. Les scènes de sexe sont d’une beauté violente où le romancier fait affleurer la détresse, la confusion et la gêne. La jeunesse qui se consume, la jeunesse à tout prix : « C’était quoi le bonheur, si ça n’était maintenant ? »

  Télérama 3TTT

• «Je suis sorti d’un monde pour en rejoindre directement un autre», raconte l’auteur de 34 ans présent à Paris pour son deuxième roman, les Derniers Américains, où l’université est de nouveau décor et creuset. A l’heure des choix, Seamus, Noah, Fatima, Stafford, Goran et quelques autres, la plupart sont homosexuels et racisés, presque tous artistes, se croisent, se rencontrent, se disputent, se débrouillent, couchent ensemble. Il est question de création, d’illusions perdues, d’amitié, de désir et des moyens dont on dispose ou non. "L'argent et le sexe. La peur de la solitude. Le silence et le bruit."

  Libération, 2 pages d'ouverture

• Un ambitieux roman choral. Les dialogues sont savoureux, les personnages complexes, et l'ensemble éminemment vivant.

  Figaro Madame

• Avec sa structure honorant les grands romans classiques du XIXe siècle et ses multiples références pop, Les Derniers américains parle d'amour, d'amitié, d'empathie et d'espoir. Même dans des périodes troubles…
  À seulement 34 ans, Brandon Taylor a été déjà récompensé de plusieurs prix et son premier roman autofictionnel, le très remarqué Real Life, est en cours d'adaptation cinématographique. Avec Les Derniers américains, il persiste avec sensibilité dans le récit d'apprentissage, cette fois collectif.

  Vogue

• Un roman poétique, teinté d'une certaine noirceur. Brandon Taylor analyse brillamment les dernières années étudiantes.

  La Croix

• L'un des meilleurs auteurs à suivre de sa génération.

  Tetu

• Avec grâce et empathie, malgré une écriture qui ne s'encombre pas de préciosité, l'auteur montre la jeunesse américaine d'aujourd'hui telle qu'elle est, ni rebelle comme dans les années 1960, ni insouciante comme dans les années 1980, mais travaillée par la question queer ou celle du racisme. C'est souvent cru, parfois drôle et toujours d'une folle intelligence.

  Télé Z

• Une écriture empathique et réaliste.

  Focus Vif

• Le roman de Brandon Taylor dessine un portrait de l’Amérique d’aujourd’hui, un portrait critique, se focalisant sur un certain nombre d’éléments de la réalité sociale et psychique américaine : les rapports sociaux et économiques, les rapports de genre, de « race », les façons de se penser et de penser les autres, les rapports et interactions que rend possibles la société américaine aujourd’hui.

  Diacritik

• Tout comme Ben Lerner ou Hernan Diaz, Brandon Taylor est une nouvelle voix qui compte, et LES DERNIERS AMERICAINS est là pour le prouver. Un livre de l’intime puissant et foncièrement universel.

  Un dernier livre avant la fin du monde

• En seulement deux romans, Brandon Taylor s’est imposé comme un auteur incontournable aux États-Unis. Déjà nommé pour le prestigieux ­Booker Prize avec Real Life, Taylor est de retour avec une collection de portraits d’étudiants, tous liés par une inclination pour les arts. En résulte un roman unique qui ne rentre dans aucune case.

  Moustique - La libre

• L’écriture à fleur de peau de Brandon Taylor, crue et précise (...) Des considérations sur l’art et sur ses liens avec la classe sociale, des interrogations sur la possible futilité de l’expression artistique face au besoin de (sur)vivre.

  A voir à lire

• Brandon Taylor décrit dans son roman ce que le déterminisme social fait au corps et comment le corps est profondément politique. Il interroge ce corps dans toutes ses dimensions - sexuels, porteurs d'identités, objets de revendication.

  Untitled Magazine

• Un roman choral sur l'art, sur la folie qui nous pousse à l'exercer, et sur son irréfutable pouvoir : le défi était grand, et Brandon Taylor le relève avec talent.

  Financial Times

• Brandon Taylor révèle à merveille les facettes de ses personnages, plus vrais que nature.

  New Yorker

• Brandon Taylor excelle à détourner le roman classique.

  Emma Cline, autrice de The Girls et de L'invitée

• Un talent inimitable.

  Elle

• L'un des écrivains les plus importants de sa génération.

  The Guardian